Londres au temps du cinéma muet – Toute la Mémoire du Monde, 2018

La section Londres au temps du cinéma muet proposait une programmation de films muets britanniques ayant Londres pour décor. Une programmation où toutes les projections ont donné lieu à un accompagnement musical mené par la classe d’improvisation au piano de Jean-François Zygel (Conservatoire National Supérieur de Musique et de Danse de Paris). Cette section, composée de films courts des débuts du cinéma jusqu’aux années 1920, mais également de longs métrages des deux cinéastes londoniens parmi les plus célèbres du pays, Anthony Asquith et Alfred Hitchcock, est revenue sur l’époque où Londres, par son architecture, sa population, sa géographie et sa culture fascinait les cinéastes et était une des grandes capitales du cinéma.

Chantage (Blackmail, 1929) de Alfred Hitchcock, Piccadilly (1929) de Ewald Andreas Dupont, Point Ne Tueras (High Treason, 1929) de Maurice Elvey, The Runaway Princess (1929) de Anthony Asquith et Fritz Wendhausen, Un Cri dans le Métro (Underground, 1928) de Anthony Asquith, Un Drame au Studio (Shooting Stars, 1928) de Anthony Asquith et A.V. Bramble, Le Londres de la Belle Époque (1896-1911), un programme composé de 35 vues de  la ville au début de l’invention du cinématographe et Wonderful London (1924), programme composé de six court-métrages (Cosmopolitan LondonBarging Through London, London’s Free Shows, Dickens’ London, Along Father Thames to Shepperton et London’s Sunday) réalisés par Frank Miller et B. Parkinson Harry.

Steve Le Nedelec